As principais praças europeias fecharam em terreno negativo com o sector automóvel a penalizar face ao receio de que os EUA agravem as tarifas aos automóveis europeus. Críticas de Trump à Fed penalizam dólar e petróleo enquanto a instabilidade em Itália colocou os juros em alta.
As fabricantes de automóveis europeias foram penalizadas pelo receio dos investidores quanto à possibilidade de concretização da ameaça de Donald Trump reforçar as taxas aduaneiras sobre os automóveis europeus. Isto numa altura em que volta a subir de tom a retórica do presidente norte-americano contra a União Europeia e a China.
Juros das dívidas sobem com incerteza em Itália
Os juros associados às obrigações soberanas dos países que integram a Zona Euro subiram esta sexta-feira, num dia em que a incerteza regressou a Itália. A nomeação do novo líder do banco estatal Cassa Depositi e Prestiti (CDP) provocou um choque entre o vice-primeiro-ministro e líder do 5 Estrelas, Luigi Di Maio e o ministro italiano das Finanças, Giovanni Tria.
Tria acabou por levar avante a escolha de Fabrizio Palermo para CEO do CDP, com o 5 Estrelas a fazer vingar uma outra nomeação relevante, a de Alessandro Rivera, para director-geral do Tesouro transalpino.
Também a provocar tensão no mercado secundário de dívida soberana esteve a notícia do Corriere della Sera que dava conta de que o presidente do comité orçamental da câmara baixa do parlamento italiano, Claudio Borghi, terá afirmado que Itália acabará por sair da Zona Euro, mais cedo ou mais tarde.
Por sua vez Trump criticou a FED.
Le président américain Donald Trump s'en est pris ouvertement sur la chaîne CNBC à la politique monétaire de la Réserve fédérale américaine, présidée par Jérôme Powell, jugeant que le dollar est très fort et que les hausses successives des taux d'intérêt pourraient nuire à l'économie américaine. En réaction à ces propos, le dollar a perdu du terrain face à l'euro en cours de séance, le 19 juillet.
Por sua vez Trump criticou a FED.
Le président américain Donald Trump s'en est pris ouvertement sur la chaîne CNBC à la politique monétaire de la Réserve fédérale américaine, présidée par Jérôme Powell, jugeant que le dollar est très fort et que les hausses successives des taux d'intérêt pourraient nuire à l'économie américaine. En réaction à ces propos, le dollar a perdu du terrain face à l'euro en cours de séance, le 19 juillet.
(article publié le 20 juillet à 9h57, mis à jour à 15h15 avec les tweets accusateurs de Trump sur l'Union européenne et la Chine qui "manipulent" la monnaie)
Et voilà maintenant que Donald Trump s'en prend à la Fed, fait rarissime pour un président américain en exercice. Dans un entretien à la chaîne financière CNBC, devant être diffusé en intégralité ce 20 juillet outre-Atlantique, le locataire de la Maison Blanche a surpris les marchés en affirmant n'être "pas content" de la politique monétaire menée par la Fed, qui relève progressivement les taux d'intérêt, contribuant ainsi à la hausse du dollar.
En effet, depuis sa prise de fonction en début d'année, le président de l'institution Jerome Powell, un républicain modéré respecté, d'ailleurs nommé à la surprise générale par Donald Trump, a poursuivi la politique de sa précédecesseure Janet Yellen en augmentant les taux deux fois. Et la Fed devrait relever graduellement son taux directeur à nouveau à deux reprises avant le 31 décembre, pour le situer à près de 2,50% au lieu de 2% aujourd'hui.
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