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19 de setembro de 2014

Os intocaveis !

 1) Há dias um ilustre socialista Nuno Godinho de Matos fazia a capa  do jornal I afirmando que nas reuniões da Administração do BES entrava mudo e saia calado e que uma vez no Luxemburgo quando  estagiou no Parlamento Europeu  lhe deram uma mala com dinheiro para o PS que entregou ao Dr Mário Soares .!!!!
Depois desta notícia algum jornalista perguntou alguma coisa sobre este facto ao Dr.Mário Soares ?
Uma afirmação destas passa por normal, perfeitamente aceitável , sem interesse para qualquer comentador encartado do dito "arco da governação " digo , da corrupção...

2) Depois de já ser conhecido e publicado em livro o Dr Mário Soares veio vangloriar-se agora  ter sido ele , por intermédio do seu amigo Francois Mitterrrrrrand ! , quem ajudou o Dr Ricardo Salgado Espírito Santo a arranjar financiamento no Crédit Agricole,  para ficar com o BES por si privatizado...
Era caso para perguntar ao Dr Soares o que é que Portugal ganhou com a privatização do BES ou  com
a privatização dos outros bancos ou com a destruição da Reforma Agrária...
Se Álvaro Cunhal cá estivesse tinha mais algumas confissões para acrescentar à Revolução Confessa-se

Ukraine et les néo-nazis


Ukraine et les néo-nazis (a traduzir)

Depuis les graves protestations qui ont éclaté en Ukraine en février les médias occidentaux, en particulier aux États-Unis, ont sérieusement minimisé le fait que les suspects habituels - le triumvirat États-Unis / Union européenne / OTAN – sont dans le même camp que les néo-nazis. Aux États-Unis, il a été impossible d’en trouver mention. Je suis sûr que si un sondage sur cette question était réalisé aux États-Unis, il révélerait une ignorance quasi totale sur les nombreuses actions néo-nazies, notamment les appels publics tuer « les Russes, les communistes et les juifs ». Mais la semaine dernière, le sale petit secret a en quelque sorte montré le bout de son nez.
Le 9 Septembre NBCnews.com a indiqué que « la télévision allemande montre des symboles nazis sur les casques des soldats ukrainiens ». La station allemande a montré des images d’un soldat portant un casque de combat avec les « runes SS » des célèbres corps d’élite en uniforme noir d’Hitler. (Les runes sont les lettres d’un alphabet utilisé par les anciens peuples germaniques.) Un deuxième soldat a été montré avec une croix gammée sur son casque.
Le 13, le Washington Post a montré une photo de la chambre d’un membre du bataillon Azov, une des unités paramilitaires ukrainiennes qui combattent les séparatistes pro-russes. Sur le mur au-dessus du lit se trouve une grande croix gammée. Mais ne vous inquiétez pas car le quotidien a cité le chef de peloton qui précise que les soldats adoptent des symboles et des notions extrémistes dans le cadre d’une sorte de « romantisme ».
Pourtant, c’est le président russe Vladimir Poutine qui est comparé à Adolf Hitler par tout le monde, du prince Charles à la princesse Hillary, en raison de l’incorporation de la Crimée dans la Russie. Sur cette question, M. Poutine a déclaré :
Les autorités de Crimée se sont appuyées sur le précédent bien connu du Kosovo, un précédent que nos partenaires occidentaux ont créé eux-mêmes, de leurs propres mains pour ainsi dire. Dans une situation absolument semblable à celle de la Crimée, ils ont jugé que la sécession du Kosovo de la Serbie était légitime, en faisant valoir partout qu’aucune autorisation des autorités centrales du pays n’est nécessaire pour une déclaration unilatérale d’indépendance. Le tribunal international de l’ONU, fondée sur l’article 2 de l’article 1 de la Charte des Nations Unies, s’est déclaré d’accord et dans sa décision du 22 Juillet 2010 a noté ce qui suit, et je cite textuellement : Aucune interdiction générale ne peut être opposée à la pratique de la sécurité Conseil en ce qui concerne les déclarations unilatérales d’indépendance.
Les comparaisons de Poutine avec Hitler sont éclipsées par les histoires de Poutine l’envahisseur (Vlad l’Empaleur ?). Pendant des mois, les médias occidentaux ont battu les tambours sur la Russie ayant (en fait) envahi l’Ukraine. Je recommande la lecture de « Comment savoir si la Russie a envahi l’Ukraine ? » par Dmitry Orlov
Et gardez à l’esprit l’encerclement de la Russie par l’OTAN. Imaginez la Russie installant des bases militaires au Canada et au Mexique, de l’Atlantique au Pacifique. Rappelez-vous ce qu’une base soviétique à Cuba a provoqué.
Les États-Unis ont-ils déjà donné un bon exemple ?
Depuis ce jour fatidique du 11 Septembre 2001, l’objectif principal des relations publiques des États-Unis a été de discréditer l’idée que l’Amérique avait mérité ce qui lui arrivait en raison de ses nombreux actes politiques et militaires d’agression. Voici notre héros préféré à tous, George W. Bush, qui s’exprimait un mois après le 11/9 :
« Comment répondre lorsque je vois que dans certains pays islamiques il y a une haine viscérale de l’Amérique ? Je vais vous dire comment je réponds : je suis étonné. Je suis étonné de voir une telle incompréhension de ce qu’est notre pays que les gens nous haïssent. Je suis - comme la plupart des Américains, je n’arrive tout simplement pas à le croire parce que je sais combien nous sommes bons ».
Merci, George. Maintenant, prenez vos pilules.
Moi et d’autres historiens de la politique étrangère des États-Unis ont documenté en détail les déclarations de terroristes anti-américains qui ont clairement fait savoir que leurs actions étaient menées en représailles de décennies d’abominations internationales de la part de Washington. Mais les responsables et les médias américains ignorent régulièrement ces éléments et s’accrochent à la ligne du parti selon laquelle les terroristes sont tout simplement cruels et rendus fous par la religion ; ce que beaucoup d’entre eux sont, en effet, mais cela ne change rien quant aux faits politiques et historiques.
Cette mentalité américaine semble être bel et bien vivante. Au moins quatre otages détenus en Syrie récemment par des militants de l’État islamique, dont le journaliste américain James Foley, ont été torturés par simulation de noyade pendant leur captivité. Le Washington Post a cité un responsable américain : « l’EI est un groupe qui crucifie régulièrement et décapite les gens. Suggérer qu’il existe une corrélation entre la brutalité de l’EI et les actions passées des États-Unis est ridicule et alimente leur propagande tordue. »
Le Post, cependant, a peut-être légèrement évolué, en ajoutant que les « militants de l’état ​​islamique ... semblent imiter la technique de la CIA de simulations de noyade (waterboarding) pour interroger des terroristes présumés après les attentats du 11 septembre 2001. »

Conférence donnée par William Blum à une journée d’études sur la politique étrangère américaine, American University, Washington, DC, le 6 Septembre 2014

Chacun d’entre vous, j’en suis sûr, a rencontré beaucoup de gens qui soutiennent la politique étrangère des Etats-Unis, et avec qui vous avez débattu à n’en plus finir. Vous soulignez toutes les horreurs, les unes après les autres, du Vietnam à l’Irak. Des bombardements et invasions épouvantables aux violations du droit international et la torture. Mais rien n’y fait. Rien ne les fait douter.
Pourquoi ? Sont-ils tout simplement stupides ? Je pense qu’une meilleure réponse est qu’ils ont des idées préconçues. Consciemment ou inconsciemment, ils ont certaines croyances fondamentales sur les Etats-Unis et sa politique étrangère, et si vous n’abordez pas ces croyances fondamentales, vous pourriez aussi bien parler à un mur.
Le plus fondamental de ces croyances, je pense, est une conviction profonde que peu importe ce que les États-Unis font à l’étranger, peu importe la mauvaise tournure des choses, peu importe l’horreur qui en découle, le gouvernement des États-Unis est malgré tout motivé par de bons sentiments. Les dirigeants américains peuvent certes faire des erreurs, quelques gaffes, ils peuvent mentir, ils peuvent même à l’occasion causer plus de tort que de bien, mais tout ça part d’un bon sentiment. Leurs intentions sont toujours louables, nobles même. La grande majorité des Américains en sont certains.
Frances Fitzgerald, dans sa célèbre étude des manuels scolaires américains, a résumé le message de ces livres : «  Les Etats-Unis ont été une sorte d’Armée du Salut pour le reste du monde : tout au long de l’histoire, ils n’ont pratiquement fait qu’aider les pauvres, les ignorants, et les pays malades. Les États-Unis ont toujours agi de manière désintéressée, toujours avec les objectifs les plus louables ; ils ont toujours donné et jamais pris ».

12 de setembro de 2014

CUBA: Um exemplo de qualidade no ensino, reconhece o BM (1)

Acontece no sistema de ensino com o ministro Crato o inimaginável, após os tempos de Maria de Lurdes Rodrigues (é bom não esquecer…) olhemos então os exemplos de excelência que vêm da assediada mas gloriosa Cuba socialista.
Um recente relatório do Banco Mundial, reconhece que Cuba é o único país da América Latina a dispor de um sistema educativo de alta qualidade, comparável às melhores práticas mundiais. O relatório refere os elevados parâmetros do sistema escolar, o elevado talento académico, as remunerações elevadas ou pelo menos adequadas, a autonomia profissional elevada, características dos sistemas educativos mais eficazes no mundo, como (segundo o BM) os da Finlândia, República da Coreia, Suíça, Holanda, Canadá e China (Shangai).
Cuba destina 13% do OE à educação. O seu sucesso é reconhecido internacionalmente nos domínios da educação mas também na saúde, com serviços sociais que garantem o acesso universal a estes sistemas, fornecidos pelo Estado, o que permitiu erradicar o analfabetismo e ter uma das mais longas esperanças de vida.
Cuba ultrapassa largamente os países da América Latina e outros países de rendimento intermédio nos mais importantes índices de educação, saúde e salubridade pública, segundo a OMS, o Programa da ONU para o Desenvolvimento, bem como de outras agências da ONU.
O BM recorda ainda que dispor de bons sistemas educativos é vital para o futuro. Os resultados obtidos por Cuba refletem as orientações do governo cubano colocar o futuro da sua juventude no centro dos seus projetos de sociedade.
Compare-se então com o que se passa em Portugal em que o sistema público de ensino está a ser destruído sistematicamente, os professores ignbilmente atacados na sua dignidade e a população mais qualificada literalmente a fogir do país assim que pode. Para além disto a dita comunicação social (salvo raras exceções) promove o obscurantismo e a confusão na esfera política.
Apesar das limitações impostas pelo criminoso bloqueio o seu exemplo mostra como uma nação com recursos limitados pode proporcionar aos seus cidadãos elevada qualidade de vida e garantir-lhes um futuro de progresso e elevação cultural.
Perante o descalabro do país algémm ouviu nos diálogos entre o sr. Feliz e o sr. Contente (A. Costa e J. Seguro) ou antes o Rezingão e o Simplório (da Branca de Neve e os Sete Anões) falar no que querem para o país em educação, em saúde, em saneamento público (questão das águas)? Cada um deles imita bem os macacos que não vêm, não ouvem, ah!, estes falam, falam mas não dizem nada… 

1 – Parte referente a Cuba a partir de um texto de Salim Lamrani em legrandsoir.info.

3 de setembro de 2014

Roma não paga a traidores – acerca da Ucrânia

Esta seria a frase em que o sr. Gorbatchov deveria meditar, se porventura tiver um pingo de consciência, ele que assumiu o poder jurando e proclamando o leninismo, mas que destruiu a URSS mesmo quando já no fim da perestroika e da intensa propaganda antisoviética, 85% da população segundo uma sondagem ocidental queria o socialismo. Outro traidor o patético sr, Chevarnadze (ministro dos negócios estrangeiros da URSS) que já está no túmulo depois de ter levado a guerra civil e a desgraça à sua terra natal, a Goórgia, graças à conspiração dos seus amigos dos EUA.
Depois de todas as cedências ao “Ocidente” – leia-se NATO – a Rússia está mais ameaçada do que nunca esteve desde o fim da II Guerra Mundial. Aqueles que diziam que a UE tinha trazido mais de 60 anos de paz à Europa, escamoteavam que isso só tinha existido por haver uma RDA e o contra poder do Pacto de Varsóvia que equilibrava – apesar das provocações – a NATO. Com a “anschluss” (anexação) da RDA, liquidada a URSS, extinto o Pacto de Varsóvia, a guerra na Europa voltou de imediato na ex-Jugoslávia, começando a concretizar os desejos expansionistas da Alemanha e da NATO.
O grande capital avançou também para a sua guerra social contra os direitos dos trabalhadores e a soberania dos Estados, vergados aos seus interesses. Os socialistas europeus como de tradição desde o assassinato de Jean Jaurés em 1914, estiveram sempre do lado do militarismo e do grande capital.
As grandes crises capitalistas conduzem à guerra como forma do capital resolver as contradições mais profundas e ter argumentos para a exploração acrescida. Infelizmente as teses marxistas verificam-se. E infelizmente, pois o mundo seria mais feliz, se o Capital fosse um livro histórico, como a Republica de Platão ou o Tratado Político de Espinosa, continuando como estes  a dar ensinamentos e proporcionar reflexões. Era sinal que o capitalismo já não dirigia o mundo, já não sacrificava mais os povos.
A propaganda de guerra, assalta a comunicação social, a mentira, a deturpação dos factos, o branqueamento do neofascismo, atinge o nível do repulsivo. Quando dizem que a Rússia está a violar Tratados internacionais, esquecem-se que tinah sido acordado com o fim da URSS a dissolução dos dois blocos militares: a NATO e o Pacto de Varsóvia. Até um comboio humanitário de camiões russos foi qualificado como violação da soberania da Ucrânia, pelos que bombardearam a Jugoeslávia, a Líbia, o Afeganistão, o Iraque, intervêm em África, etc.  
De facto o imperialismo – qualquer que ele seja - não paga a traidores: só reconhece os seus interesses, por isso se chama: imperialismo.

 

2 de setembro de 2014

Se Perguntar não ofende....

Por que será que todos os banqueiros , ex- banqueiros  e grandes "colaboradores " da Banca
têm defendido a venda total ou em parcelas , o mais rapidamente possível, do "Novo Banco "?
Alguns , num exercício de sinceridade até adiantam que estarão interessados em tal ou tal parcela...
A resposta à questão levantada parece-me simples: o que está em causa é o interesse nacional, a defesa
da nossa economia e da soberania nacional.
Não tenham dúvidas.!..

1 de setembro de 2014

EUROFIN

Segundo o Expresso desta semana a EUROFIN sociedade ligada ao BES era a placa giratória para o BES financiar o GES num processo que o Governador  do Banco de Portugal considerou fraudulento .
Para realizar esse esquema a EUROFIN comprou um fundo sediado em Londres o Nau Capital criado em 2008 tendo como fundadores João Poppe sobrinho de Ricardo Salgado e  nada mais nada menos do que João Moreira Rato ( ex- presidente ,do do Instituto de Gestão de Credito Público  ) e agora...administrador do Novo Banco !!! Dir se -à que Moreira Rato saiu um ano antes da venda Nau Capital  à EUROFIN...Mas a Nau Capital não esteve sempre ligada directa ou indirectamente ao BES ? E J. Moreira Rato desconhecia todos estes esquemas ? E o Governador do Banco de Portugal acha tudo isto transparente e normal ?
As comadres continuam juntas protegendo-se umas às outras ....
Preparem as reformas nos próximos tempos . Reformas , IRS , vencimentos , Segurança  Social , Saúde., Ensino Publico....