Linha de separação


10 de novembro de 2019

O que se ficou a saber

https://guce.huffpost.com/copyConsent?sessionId=3_cc-session_d22f436e-30ed-4369-b588-a6405c0f6705&inline=false&lang=en-us

O que se ficou a saber com Assange que os jornalistas da comunicação social dita de referência publicou e comentou favoravelmente e que agora não gasta uma linha solidária :
Para alem dos mails de Hillary Clinton e de outras revelações:
L’armée américaine a tué des civils et un cameraman de Reuters en Irak
En 2010, une vidéo tournée à bord d’un hélicoptère américain opérant en Irak a documentéle meurtre d’un cameraman de 22 ans de Reuters et de son chauffeur dans une attaque aérienne à Bagdad. WikiLeaks a diffusé les images de la frappe, qui a tué au moins une douzaine de personnes, dans une vidéo de 38 minutes intitulée « Collateral Murder » [meurtre collatéral]. On y voit les détails de la tuerie et on entend l’équipage riant et se référant aux victimes en termes injurieux. L’armée américaine a d’abord affirmé que l’équipe de Reuters avait été tuée dans une fusillade avec des insurgés, explication contredite par la vidéo.
La vidéo et plus de 700000 documents qui ont fait l’objet d’une fuite ont déclenché un important scandale et un tollé de la part des groupes de défense des droits humains. Elle a également mené à l’arrestation de Chelsea Manning, agent de renseignement américain qui avait illégalement téléchargé les documents d’une base militaire avant de les fournir à WikiLeaks.
Corruption, meurtres et abus en Irak et en Afghanistan
Après que WikiLeaks ait publié la vidéo « Collateral Murder », il a continué avec d’autres documents des fichiers Manning. Ces documents ont révélé une corruption et des violations massives des droits de l’homme en Irak et en Afghanistan, ainsi qu’un manque apparent d’action de la part des autorités américaines pour enquêter ou prévenir de tels abus. Certains des dossiers indiquaient en détail que les forces américaines étaient au courant des abus commis par la police irakienne, y compris la torture et le viol, mais qu’elles ne faisaient souvent rien pour punir ces actes. Un autre communiqué concernait des marines américains qui ont tué ou blessé des dizaines de civils non armés près de Jalalabad, en Afghanistan, alors qu’ils fuyaient une attaque.
Les États-Unis ont espionné leurs alliés et écouté les appels téléphoniques des gouvernements étrangers
Un communiqué publié en 2015 a révélé que les États-Unis avaient espionné un certain nombre d’alliés, utilisant la National Security Agency pour intercepter les appels téléphoniques de hauts responsables, d’entreprises et de dirigeants étrangers. Les révélations ont déclenché une tempête politique internationale, forçant le président Barack Obama à présenter des excuses à l’Allemagne, à la France, au Brésil et au Japon, qui ont tous été ciblés par l’espionnage. Dans le cas de l’Allemagne, WikiLeaks a allégué que les dossiers montraient que la NSA avait mis la chancellerie allemande sur écoute depuis des décennies.
Rapports de renseignements sur les prisonniers de Guantanamo Bay
Des centaines de rapports sur les opérations et les détenus de Guantanamo Bay ont donné un aperçu des opérations menées dans le camp de détention secret des États-Unis et du statut de ses prisonniers. Les publications de 2011 ont révélé que des dizaines de détenus souffraient de dépression et de maladie mentale, que les États-Unis obtenaient des informations par la torture et que certains prisonniers étaient détenus sur la base de maigres preuves ou en raison d’une identité erronée. Les dossiers ont également montré que 172 des prisonniers qui s’y trouvaient avaient été considérés comme des prisonniers à haut risque qui représenteraient une menace pour les États-Unis s’ils étaient libérés(...)

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