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4 de agosto de 2011

Um anjinho e o afundamento das bolsas

1 - O ministro das finanças com aquela postura e voz de sacristão afirmou na Assembleia da República que " A razão da preocupação (com bancos) não tem nada a ver com accionistas, mas com a protecção dos clientes "
O Sr Ministro quis dizer que afinal a situação dos bancos portugueses é tal que o governo se vê obrigado a injectar capital nos bancos para proteger os clientes ?
E com a entrada de capital nos bancos os accionistas não vão beneficiar Sr Ministro? E esse capital não poderia ser aplicado nas funções do Estado-saúde, educação?
E quem paga as facturas no futuro não é o contribuinte?
A afirmação angélica do Sr ministro não transforma a mentira em verdade.
2 - Durão Barroso ao afirmar que a crise não era só dos países periféricos parece ter dado uma contribuição ao afundamento nas bolsas o que já foi criticado pela inefável Srª Merkel.O mesmo se passou com o iluminado Sr Trichet ao afirmar que a decisão de financiar os Bancos face à agudização da crise não tinha tido a unanimidade...
3- Uma outra opinião sobre a situação:
(...)

Nouveauté dans ce paysage, les compagnies d’assurance entrent dans la danse alors qu’elles se faisaient discrètes. Henri de Castries, le Pdg d’AXA, qui a pris sa modeste part du sauvetage grec à hauteur de 92 millions d’euros net, n’a « pas de raison » de réduire son exposition à la dette italienne et espagnole, affectant la sérénité. Leader mondial de la réassurance, Munich Re, a fait entendre un autre son de cloche. Nikolaus vom Bomhard, son Pdg, a fait part de ses inquiétudes sur la crise de la dette mondiale. Commentant les récents événements, tant en Europe qu’aux États-Unis, il a déclaré que « il est clair pour tout le monde qu’on ne traite que les symptômes » sans toutefois préciser son diagnostic.

Le paysage est en train d’évoluer. La dette publique ne peut plus être présentée comme source de tous les maux alors qu’il apparaît de plus en plus ouvertement que les banques sont atteintes elles aussi. Placées devant la nécessité de renforcer leurs fonds propres, elles le sont aussi devant le risque de devoir assumer des pertes qu’elles avaient jusqu’à maintenant réussi à masquer.

De nouvelles restructurations de dette rendraient inévitable la recapitalisation d’un certain nombre d’acteurs financiers, et l’on pense déjà au rôle que le FESF pourrait être amené à jouer. Suivant davantage le mode d’un TARP américain que d’un FMI européen, comme on a voulu le présenter avantageusement. Mais il va falloir financer celui-ci…

Il va être difficile d’éviter, dans le contexte européen, que les actionnaires ne prennent pas leur part de l’effort, craignent les analystes qui cherchent à anticiper sur la question. La rentabilité des banques ne sera plus en tout état de cause ce qu’elle était, c’est confirmé. Les banques européennes sont à leur tour entrées dans une zone de grande turbulence. Poster de Francois L. no blog de P.J.

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