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10 de fevereiro de 2019

Uma ingerência descarada

Globovisión, Caracas, 15 janeiro de 2019 .Dedicado a Santos Silva e a  todos os serventuários do Império ; decaração de Claudio Fermin o responsável da campanha de Henri Falcon em relação à ultima campanha eleitoral :" A vitória do chefe de Estado em 20 de Maio é um facto político , em consequência Maduro é um presidente legitimo.

Du XVIIe à la presque fin du XXe siècle, la souveraineté nationale a constitué le principal fondement du droit international. Le principe selon lequel « tout Etat a le droit inaliénable de choisir son système politique, économique, social et culturel sans aucune forme d’ingérence de la part de n’importe quel autre Etat » a été confirmé par divers actes juridiques, notamment la résolution du 24 octobre 1970 de l’Assemblée générale de l’ONU et l’acte final de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) de 1975 [3].
Aux « conquistadores » à la petite semaine, il n’est pas inutile de rappeler quelques principes de ce droit international censé garantir le respect de l’article 2, paragraphe 1 de la Charte de l’ONU : « L’Organisation est fondée sur le principe de l’égalité souveraine de tous ses membres. » Il s’agit, somme toute, de protéger les plus faibles des disparités de puissance entre Etats. En rappelant, par exemple « le devoir d’un Etat de s’abstenir de favoriser, d’encourager ou d’appuyer, directement ou indirectement, les activités de rébellion ou de sécession, au sein d’autres Etats, sous quelque prétexte que ce soit, et de toute action tendant à briser l’unité ou à saper ou à compromettre l’ordre politique d’autres Etats »  ; « le devoir d’un Etat de s’abstenir d’exploiter et de déformer les questions relatives aux droits de l’Homme dans le but de s’ingérer dans les affaires intérieures des Etats, d’exercer des pressions sur des Etats ou de susciter la méfiance et le désordre à l’intérieur d’Etats ou de groupes d’Etats et entre eux [4]. » Quant au paragraphe 4 du même article 2 de la Charte fondamentale, que semblent ignorer tant Donald Trump que Luis Almagro, lesquels n’ « écartent pas l’option militaire », il interdit « la menace ou l’emploi de la force contre la souveraineté, l’intégrité territoriale et l’indépendance politique du tout Etat ».

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