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12 de janeiro de 2019

A divida das empresas e a instabilidade

O capital a navegar à vista e os Bancos Centrais como parte da tormenta . O risco sistémico
Por razões ideológicas fala se da dívida pública para esconder o monstro da dívida das empresas
2(...)Dans l’actualité, il n’y en a que pour la dette publique, pour des raisons en vérité purement idéologiques. Mais le vent est en train de tourner. Le poids de la dette des entreprises, qui augmente le plus rapidement, est souligné par la Banque des règlements internationaux (BRI) qui s’en alerte. Celle-ci pèse près de 15.000 milliards de dollars aux États-Unis, et 12.000 milliards en Europe. Conduisant Janet Yellen, l’ex présidente de la Fed, à parler à son sujet de « risque systémique », une expression employée quand on veut signifier que l’on ne sait pas le combattre. Elle l’a utilisé à propos des prêts « à effet de levier », dont le montant est très élevé par rapport au capital de l’entreprise qui les a contractés. Et qui, circonstance aggravante, font l’objet d’opérations de titrisation…
C’est aux États-Unis que l’on rencontre le plus cette situation, ce qui nous rappelle quelque chose ! Certes, pratiquant l’apaisement, les analystes minimisent tout danger. Tout ira bien tant que l’économie n’entrera pas en récession, concèdent-ils, ce qui n’est pas exagérément rassurant.
Si la dette globale s’accroit indéniablement, c’est que les effets parasitaires accentués de la mauvaise allocation du capital sont passés par là. Le capitalisme financier détourne les capitaux du soutien de l’économie, de meilleurs rendements étant accordés à la spéculation. Puis il se rémunère autant que possible sur les prêts accordés pour le compenser. Avec la crainte que cette rémunération diminuant, le volume des prêts et leur risque augmentent. C’est cette dynamique qu’il faut enrayer, et cette clé actionner pour renverser le maléfice, au lieu de s’en remettre à un marché pourvu d’une puissance divine auprès du bon peuple. Car les financiers sont bien placés pour ne pas y croire, laissant à leurs laudateurs cette croyance d’un autre âge.2 Francois. L.  Blog Dec..

1 comentário:

Francisco Apolónio disse...

E digo eu, simples analfabeto em termos económicos e financeiros, que as dívidas públicas são, em geral, criadas e ampliadas por Particulares/Privados!