Linha de separação


19 de janeiro de 2020

O liberalismo na realidade

As teorias liberais favoreceram a emergência do nazismo ?
https://anticons.wordpress.com/2020/01/15/les-theories-liberales-ont-elles-favorise-lemergence-du-nazisme/

Uma  leitura importante ,uma tradução necessária


ANTICONS - Observatoire du néo-conservatisme
Issu du siècle des lumières, le libéralisme se présente comme une philosophie politique qui prône des valeurs telles que la démocratie, la laïcité, l’égalité entre les sexes, l’égalité raciale, la liberté d’expression, la liberté de la presse, la liberté du choix religieux ou encore une forme d’internationalisme. Mais par delà les apparences, connaît-on vraiment l’histoire du libéralisme ? Cette doctrine qui domine sans partage est-elle aussi bienveillante que ses aficionados le prétendent ?
Convaincu de la nécessité d’un nouvel éclairage, le philosophe italien Domenico Losurdo a publié en 2014 une « Contre-histoire du libéralisme ». Dans cet ouvrage, le philosophe revient sur trois siècles de libéralisme. Chapitre après chapitre, Losurdo nous détourne des idées très largement répandues qui laissaient entendre que le libéralisme garantit à l’ensemble de la communauté humaine des droits fondamentaux. Pour lui, l’esclavage, le colonialisme, les génocides, le racisme et le mépris de classe font partie intégrante de l’histoire du libéralisme. Losurdo insiste avec force, méthode et détermination. Sans établir de parallélisme simpliste, il parvient à nous démontrer que les théories du “troisième Reich” étaient déjà en gestation dans la matrice libérale.
En nous inspirant du décryptage minutieux de Losurdo, il nous a semblé utile de revenir sur l’histoire du libéralisme. Tout d’abord en essayant de reprendre à notre compte la méthodologie du philosophe italien qui pointe notamment les contradictions du libéralisme. Puis en nous permettant de recouper les affirmations de Losurdo avec d’autres sources. Enfin, en essayant de comprendre où nous a conduits le libéralisme en 2019, nous essayerons de mieux cerner où il pourrait nous emmener, alors même qu’il est toujours de bon ton de diaboliser les révolutions et la lutte des classes.(...)

Sem comentários: