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2 de dezembro de 2011

TUDO A FAVOR DOS BANQUEIROS, NADA CONTRA OS BANQUEIROS

A Comissão Europeia resolveu facilitar de novo as ajudas públicas à Banca.
Depois da intervenção dos bancos centrais esta é mais uma medida de ajuda à banca e um impulso
á subida das suas cotações na bolsa. Mas o mercado interbancário continua práticamente sem fincionar e os depósitos dos bancos no BCE continuam a aumentar. A crise do endividamento privado também está longe de ser superado.———BRUXELLES

 assouplit les règles pour les aides publiques accordées aux banques La Commission européenne a prolongé pour 2012 le cadre spécial mis en place pour réguler les aides publiques apportées aux banques. Bruxelles allège les contraintes, en réduisant le coût des garanties publiques et en revoyant sa doctrine sur les cessions d'actifs. Créé en 2008 après Lehman Brothers, prolongé une première fois en 2010, le cadre européen dédié à la régulation des aides publiques aux banques va finalement être reconduit une année de plus. « Je sais que certains seront déçus de voir que le Etats membres sont plus résolus pour soutenir le système bancaire plutôt que d'autres secteurs. Mais tout le monde est conscient que si les banques sont paralysées, c'est toute l'économie qui est touchée. Les tensions grandissantes sur le marché de la dette souveraine justifient qu'on reconduise ce cadre », a justifié hier Joaquin Almunia, le vice-président de la Commission européenne en charge de la Concurrence. De 2008 à 2010, le volume des aides publiques dont ont bénéficié les banques approche 1.600 milliards d'euros, selon l'exécutif européen. Joaquin Almunia promet que ce régime sera suspendu « dès le retour à la normale sur les marchés ». Si le cadre est reconduit, les contraintes qui s'appliqueront aux banques sollicitant des subsides publics se voient sensiblement allégées. « Il faut tenir compte du contexte actuel des marchés », explique un officiel européen. Ainsi, Bruxelles veut limiter le coût des primes que les banques doivent payer aux Etats en contrepartie de leurs garanties.
Ah! grande Almunia,,, E paga o Zé

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