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16 de dezembro de 2018

Notas sobre a ultima reunião do BCE


Consequência das politicas do BCE : les grandes fortunes, dont le patrimoine est constitué essentiellement d’actifs financiers et immobiliers, ont vu leur niveau exploser, tandis que les salariés voyaient leur revenu stagner ou baisser. En dix ans, le nombre de milliardaires a été multiplié par quatre en Allemagne et en France, selon le rapport de Crédit suisse sur les grandes fortunes. Le 1 % des plus riches totalise plus de 35 % des richesses de la zone euro et les 10 % les plus riches plus de 60 % .  »  »  »
Etc, etc, etc..jusqu’à la nausée
Como foi noticiado o BCE com a decisão de quinta-feira, mantém a  taxa de depósito  atualmente  a sua principal ferramenta de taxa de juros em -0,4% enquanto a principal taxa de refinanciamento, que determina o custo do crédito na economia, ficou em 0%.O BCE também repetiu que espera que seu programa de compra de ativos termine em dezembro, depois de reduzir para metade
Na conferência de imprensa que se seguiu a estas decisões, Mário Draghi explicou porque é que não mudou nada na estratégia do BCE apesar de, entre a última reunião e a desta quinta-feira, os sinais de abrandamento da economia da zona euro se terem tornado mais claros e o conflito entre a Comissão Europeia e a Itália subido de tom, com as taxas de juro do país a subirem de forma acentuada.
“Sim, há uma conjuntura mais fraca e uma descida dos indicadores de confiança. E a questão que colocamos é: será esta uma mudança suficiente forte para alterar para a nossa avaliação? Não, ainda não é. Mas é claro que temos de olhar para as previsões de Novembro [que serão feitas pelos técnicos do BCE]”, afirmou o presidente do BCE, assinalando, como é hábito, que o banco central está pronto para agir caso a evolução da economia assim o justifique.
Outros comentários :"La relance de l’activité économique par l’endettement a échoué, les mécanismes de la transmission monétaire – c’est à dire d’encouragement des banques à consentir des crédits – n’ont pas fonctionné. La BCE a stabilisé le système financier, mais cela s’est fait au prix de son gonflement, augurant celui de sa prochaine crise aiguë. C’est pourquoi il devenait impérieux d’arrêter l’injection de masses de liquidités." F.L 
 Martine ORANGE(Médiapart) , aussi sans pitié : https://www.mediapart.fr/journal/international/141218/bce-une-politique-monetaire-contretemps-un-risque-pour-l-europe :
… » Le retrait de la BCE laisse d’autant plus perplexe qu’il se fait à un moment de tension rarement vu depuis des décennies. Dégradation de la conjoncture mondiale, guerres commerciales, montée du protectionnisme, tensions géopolitiques… en quelques mois, la situation politique et économique mondiale s’est détériorée à vue d’œil (voir notre série sur le désaxement des planètes). La Chine notamment, qui pendant dix ans a été le principal moteur économique du monde, donne d’importants signaux de ralentissement.
Alors que l’Europe commençait à peine à sortir la tête de l’eau après des années de crise, elle menace d’y retomber. Un à un, tous les indicateurs plongent : la production industrielle, les ventes à l’exportation, les carnets de commandes, la consommation. En Italie, l’activité économique est déjà tombée à zéro au troisième trimestre. L’Allemagne n’a enregistré qu’une croissance de 0,2 %, comme la France. Tout indique que la « décélération » va se poursuivre dans les mois à venir, en excluant même des facteurs exceptionnels comme une sortie non négociée du Royaume-Uni (Brexit dur) ou la poursuite du mouvement des « gilets jaunes ».
…(…)…
Comme aux États-Unis, la politique monétaire non conventionnelle de la BCE, ses déversements illimités de liquidités dans le système financier ont contribué à exacerber les inégalités : l’essentiel a été capté par la sphère financière. Profitant d’une politique à taux zéro, d’une expansion monétaire sans précédent, les acteurs financiers, notamment en France, se sont endettés tant et plus pour profiter d’un effet de levier gigantesque, au point de créer des bulles de tout et n’importe quoi. « Les actifs, des plus sûrs aux plus volatils, des plus liquides aux plus indéfinis, ont explosé, leurs valorisations étant démesurées », rappelait l’économiste espagnol Daniel Lacalle.
Conséquence : les grandes fortunes, dont le patrimoine est constitué essentiellement d’actifs financiers et immobiliers, ont vu leur niveau exploser, tandis que les salariés voyaient leur revenu stagner ou baisser. En dix ans, le nombre de milliardaires a été multiplié par quatre en Allemagne et en France, selon le rapport de Crédit suisse sur les grandes fortunes. Le 1 % des plus riches totalise plus de 35 % des richesses de la zone euro et les 10 % les plus riches plus de 60 % .  »  »  »
Etc, etc, etc..jusqu’à la nausée.

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