O Dólar
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Les conséquences devraient être limitées pour le billet vert
Le dollar américain pourrait voir sa valeur baisser, mais dans des proportions limitées, compte tenu du poids économique des Etats-Unis dans le monde.
ECRIT PAR
Mathieu ROSEMAIN
Journaliste
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Le billet vert, symbole du capitalisme américain, pourrait-il souffrir de la dégradation de la note de crédit des Etats-Unis ?
A première vue, les risques semblent modérés. A court terme, la décision prise par Standard& Poor's (S&P) d'abaisser d'un cran la note de long terme des créances américaines pourrait avoir pour premières conséquences de légèrement relever les rendements attachés aux bons du Trésor américains et faire baisser le dollar face aux devises internationales, dont l'euro.
Des répercussions limitées donc, si l'on en croit les premiers commentaires qui circulaient ce week-end après l'annonce de l'agence de notation. Car la valeur du dollar ne repose pas sur du sable et plusieurs circonstances extérieures l'aident à conserver son rang de première devise mondiale.
Une référence sur les marchés
Tout d'abord, la devise américaine reste émise par la première puissance économique du monde. Elle constitue l'unité de valeur pour la quasi-totalité des matières premières, dont le pétrole. Ensuite, sa première concurrente à l'échelle mondiale, l'euro, paraît fragilisée depuis les débuts de la crise financière grecque, qui a révélé les limites d'un système monétaire dénué de politiques budgétaire et fiscale plus intégrées au niveau continental. Dans un monde déstabilisé par les récentes révolutions arabes et menacé par une rechute de l'activité, elle représente toujours la référence sur les marchés internationaux. Enfin, les puissances qui commercent avec les Etats-Unis, au premier rang desquelles figurent la Chine, n'ont pas intérêt à ce que la valeur du dollar chute brusquement.
Deuxième partenaire commercial des Etats-Unis après le Canada, l'empire du Milieu est par ailleurs détenteur de 46 % de la dette souveraine américaine. Une situation qui n'est pas sans inquiéter les dirigeants de ce pays confronté à une forte inflation et à la nécessité de contrôler son rapide développement industriel. Les autorités chinoises ont d'ailleurs formulé de claires remontrances à l'égard de l'administration américaine, lui demandant de mieux contrôler sa dette (lire 5). Dans un texte diffusé hier, l'agence de presse chinoise Xinhua est allée encore plus loin : elle aurait suggéré aux Etats-Unis de ne pas laisser le dollar s'affaiblir, en prenant des décisions monétaires pouvant conduire à sa dépréciation - une allusion transparente à l'éventualité d'un nouveau plan « d'assouplissement quantitatif », une politique monétaire non conventionnelle qui a permis à la Réserve fédérale d'augmenter par deux fois la masse de dollars en circulation.
En attendant, l'un des premiers marchés à subir les contrecoups d'une dévalorisation du dollar pourrait bien être celui de l'or. Après avoir atteint un plus haut historique à 1.666,60 dollars l'once mercredi dernier, le métal jaune risque de prendre un chemin à la baisse dans le sillage du billet vert. La taille du marché physique restant minuscule comparé à celui, gigantesque, de sa devise.
MATHIEU ROSEMAIN Les ECH.
Le Krach
Esta manhã o Le Monde fr titulava " o Krach que se anunciava não se verificou " . No mesmo sentido iam as afirmações dos habituais comentadores nacionais .... A realidade foi outra.
À Paris, CAC 40 : – 4,68 %
À Londres, FTSE 100 : – 3,39 %
À Francfort, DAX : – 5,02 %
Aux États-Unis,
Indice Dow Jones : – 5.55%
NASDAQ : – 6,90 %
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