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31 de dezembro de 2019

Daqui por uns anos contarão a verdade

Years from now, maybe a generation from now, it will be permissible to describe Evo Morales’s resignation-at-gunpoint two weeks ago as what it was: a coup the U.S. cultivated just as it has dozens of others since it emerged as a superpower in 1945. The acknowledgement will not matter then. The events in question will be comfortably distant in time. Those responsible for deposing the Bolivian president will be either retired or deceased. Americans will not have fooled any Bolivians, for this autumn will be etched in their memories, but Americans will have once again fooled themselves.
https://consortiumnews.com/2019/11/25/patrick-lawrence-now-the-interim-of-us-self-deception-over-bolivia/
Lire ce qui vient d’arriver à Evo Morales dans la presse grand public c’est entrer dans une galerie des glaces.
Dans quelques années, peut-être dans une génération, il sera permis de décrire la démission d’Evo Morales d’il y a deux semaines comme ce qu’elle était : un coup d’État que les États-Unis ont préparé comme ils en ont préparé des dizaines d’autres depuis qu’ils sont devenus une superpuissance en 1945. La reconnaissance n’aura pas d’importance à ce moment-là. Les événements en question seront confortablement éloignés dans le temps. Les responsables de la destitution du président bolivien seront soit à la retraite, soit décédés. Les États-uniens n’auront trompé aucun Bolivien, car cet automne sera gravé dans leur mémoire, mais les États-uniens se seront encore une fois trompés eux-mêmes.
C’est souvent ainsi que Washington écrase les aspirations démocratiques des autres en renversant des dirigeants légitimement élus et en les remplaçant par des personnalités – généralement corrompues, souvent dictatoriales, par définition antidémocratiques – à son goût. Il a fallu des décennies pour que les États-Unis reconnaissent le coup d’État dirigé par la CIA en 1953 contre le gouvernement Mossadegh en Iran : Le président Barack Obama l’a fait (sans s’excuser) en 2009. Quarante-cinq ans plus tard, Bill Clinton a passé une demi-journée au Guatemala pour exprimer ses regrets au sujet du coup d’État qui a fait tomber le président Jacobo Árbenz en 1954.

C’est ce qui nous attend maintenant dans le cas de la Bolivie – une longue période d’auto-illusion, qui ne se termine que lorsque la vérité fait peu de différence et que la responsabilité ne peut plus être imputée
Voici un extrait de ce que Bill Clinton, alors président, a déclaré à Guatemala City en mars 1999. Il s’est exprimé peu après que la Commission de clarification historique du Guatemala – un nom qu’il faut aimer – eut conclu qu’en déposant Árbenz, les États-Unis étaient responsables des violations des droits de l’homme qui ont suivi pendant 36 ans de guerre civile :
« Il est important que j’affirme clairement que le soutien aux forces militaires ou aux unités de renseignement qui se sont engagées dans une répression violente et généralisée du type décrit dans le rapport était incorrect. Et les États-Unis ne doivent pas répéter cette erreur. Nous devons et nous continuerons à soutenir le processus de paix et de réconciliation au Guatemala. »
La malhonnêteté & ses conséquences
Il s’agit d’une déclaration d’une malhonnêteté manifeste, et il est essentiel de reconnaître non seulement la malhonnêteté de Clinton, mais aussi ses conséquences. Celles-ci ont une incidence directe sur la question de la Bolivie.
Clinton a affirmé explicitement que le coup d’État d’Árbenz était une injustice qui ne se reproduirait pas. Ce qui a été fait dans le passé était mal, mais le mal a pris fin : Ceci est un bon résumé de son message. Ayant suivi la tournée de Clinton en Amérique centrale à l’époque, je reste convaincu qu’il s’est adressé aux États-uniens au moins autant qu’aux Guatémaltèques lorsqu’il a fait les remarques qui viennent d’être citées. Certains d’entre nous sont intervenus violemment dans un autre pays et ont causé beaucoup de souffrances, nous a-t-il dit, à nous les Nord-américains, mais nous ne sommes pas ces gens. Ils sont partis maintenant et nous sommes meilleurs qu’ils ne l’étaient.
C’est le message implicite de toutes les excuses que les responsables américains présentent occasionnellement pour des méfaits qui sont mis à l’abri dans le congélateur de l’histoire. On y trouve la grande illusion de l’innocence actuelle de l’Amérique. Et c’est par cette illusion que les États-Unis répètent régulièrement l’erreur mentionnée par Clinton, toujours certains que leurs injustices se situent dans un passé pour lequel les Américains vivant dans le présent ne portent aucun fardeau de culpabilité.
Que devons-nous penser des excuses que l’Amérique présente aux autres, compte tenu du bilan avant et après l’une ou l’autre de ces expressions de regret ? Rien qu’en Amérique latine, l’« erreur » guatémaltèque de 1954 s’est répétée, avec ou sans succès, à Cuba (1961, baie des Cochons), au Chili (1973), au Nicaragua (1981-1990, insurrection Contra) et au Honduras (2009). Washington tente depuis des années de répéter son erreur au Venezuela et tente actuellement de le faire à nouveau au Nicaragua. Dans le cas du Venezuela, les sanctions ont déjà réussi à déstabiliser l’économie du pays.
Nous venons de la voir commettre cette erreur en Bolivie. John Bolton, dans son célèbre discours de la « troïka de la tyrannie » il y a un an, a mis Cuba dans le même sac que le Venezuela et le Nicaragua. Le conseiller à la sécurité nationale de Trump, qui a maintenant quitté ses fonctions, a promis sans hésiter des coups d’État dans ces trois pays.
Le passé est mauvais, d’accord, mais le mal n’est pas passé.
La lutte pour la liberté d’expression
Le langage est le champ de bataille dans le cas bolivien, comme dans tous les autres cas semblables dans le passé. C’est comme ça que ça doit être. La lutte pour un langage clair et net vaut la peine d’être menée. C’est en nommant honnêtement les choses et les événements que nous nous débarrassons de nos illusions d’innocence. C’est la première étape essentielle si l’Amérique veut modifier sa conduite ruineuse à l’étranger. Échouer dans ce domaine, c’est protéger contre tout examen les pratiques illégales d’une puissance hégémonique désordonnée.
Nos médias nous ont offert un spectacle remarquable de contorsions verbales et d’esquives pour éviter d’utiliser le terme « coup d’État » dans la description des événements de La Paz à partir du 20 octobre, lorsque Morales a été élu pour un quatrième mandat, et du 10 novembre, lorsque son haut commandement l’a forcé à s’exiler. « Y a-t-il eu un coup d’État en Bolivie ? » a demandé The Economist après que Morales eut demandé l’asile au Mexique. « Coup d’État n’est pas le bon mot », a protesté le journal néolibéral fiable Foreign Policy comme si c’était une réaction. C’est le même journal qui a publié un article mi-2018 intitulé « C’est l’heure pour un coup d’État au Venezuela ».
Lire la presse grand public sur la Bolivie, c’est entrer dans une salle des miroirs. Le renversement violent d’un président élu a porté un coup à la restauration de l’ordre et de l’état de droit. Les fondamentalistes chrétiens d’origine européenne, racistes dans l’âme et méprisant explicitement la majorité indigène de Bolivie, sont des « démocrates » dignes de notre soutien. Le premier président indigène de Bolivie, très populaire pour avoir sorti un pourcentage impressionnant de Boliviens de la pauvreté, était un « dictateur tyrannique » détesté.
Cette touche orwellienne est courante – et se retrouve régulièrement dans la presse américaine. Lorsque le général meurtrier Abdul-Fattah al-Sisi a pris le pouvoir en Égypte lors d’un coup d’État il y a six ans, John Kerry, en tant que secrétaire d’État américain, l’a applaudi pour avoir « restauré la démocratie ». Pour faire bonne mesure, le secrétaire d’État a ajouté : « L’armée n’a pas pris le pouvoir. »
Des îlots de couverture responsable
Des récits précis et responsables des événements entourant l’éviction de Morales sont parfaitement disponibles, même s’ils apparaissent au milieu d’une mer de désinformation. Le reportage de The Grayzone sur la Bolivie cet automne est sans égal. La semaine dernière, Fairness and Accuracy in Reporting, FAIR, a réalisé une interview très informée et instructive avec Alex Main du Center for Economic and Policy Research à Washington.
Ces publications rendent la vérité sur les événements en Bolivie facilement lisible. Il n’y a pas eu de « changement drastique » dans le décompte des voix à la fin du processus électoral, comme l’a prétendu l’Organisation des États américains contrôlée par les États-Unis. Il n’y a pas eu non plus d’interruption suspecte dans les rapports officiels des résultats finaux, comme l’a également allégué l’Organisation des États américains contrôlée par les États-Unis. Plusieurs des personnages clés du coup d’État ont des liens étroits avec Washington ; certains, dont Williams Kalimán Romero, le commandant des forces armées remplacé depuis lors au moment du coup d’État, ont été formés à WHINSEC, la base d’entraînement militaire de l’État américain de Géorgie connue auparavant (et de façon tristement célèbre) sous le nom d’École des Amériques.
Comme ailleurs – le Venezuela et l’Ukraine en sont des exemples récents – Washington soutenait les partis politiques de droite et les groupes d’opposition de la « société civile » avant même que Morales n’accède au pouvoir en 2006. La première tentative de coup d’État perpétrée contre lui par les États-Unis a eu lieu deux ans plus tard.
Avons-nous une preuve prima facie de l’implication de Washington dans le coup d’État contre Morales ? Elle est rarement disponible dans de telles circonstances. Comme dans beaucoup d’autres cas, il faudra peut-être attendre les historiens et la déclassification des dossiers des relations étrangères. Ce qui s’en rapproche le plus dans le cas de la Bolivie est un ensemble de 16 enregistrements audio publiés le 10 novembre par El Periódico, une publication indépendante du Costa Rica. Ces derniers semblent enregistrer les principaux comploteurs de coups d’État qui planifient des actions contre le gouvernement Morales et, dans l’un d’eux, ils discutent du soutien qu’ils reçoivent des sénateurs Marco Rubio, Ted Cruz et Bob Menendez – qui ont tous pris part à des interventions antérieures en Amérique latine.
Les enregistrements sont ici avec des résumés en anglais de chaque enregistrement, et icidans la version originale de El Periódico. La provenance, la chaîne de traçabilité, l’identité de ceux qui ont fait les enregistrements et de ceux dont les voix sont enregistrées : rien de tout cela n’est clair. El Periódico n’a pas répondu aux questions envoyées par courrier électronique. Mais étant donné la conformité de ces enregistrements avec les procédures établies lors des coups d’État américains (comme la fuite d’un enregistrement concernant le coup d’État en Ukraine) et la formidable accumulation de preuves circonstancielles convaincantes, ils ne peuvent être rejetés en attendant les vérifications nécessaires.
Ce qui vient de se passer en Bolivie s’est produit au Guatemala il y a 65 ans, 66 en Iran, et ainsi de suite. Les coups d’État ont été menés plus ou moins de la même façon, sans même une mise à jour des procédures. Aujourd’hui comme par le passé, la plupart des États-uniens ignorent ce qui a été fait en leur nom – et, par-dessus le marché, restent indifférents à leur ignorance. Il s’agit d’un échec médiatique autant que moral. Lorsque Bolton promet ouvertement des coups d’État dans toute l’Amérique latine, et que des magazines libéraux comme Foreign Policy applaudissent de tels plans en gros titres, nous devons conclure que dans notre phase d’impérialisme tardif, nous sommes une nation anesthésiée.
Washington vient de briser le long effort de la Bolivie pour sortir de la pauvreté, pour prendre le contrôle de ses ressources et de son destin, et pour échapper à des siècles d’exploitation aux mains des Occidentaux. C’est honteux. Le consentement silencieux de la plupart des Américains après de nombreuses décennies de leçons non apprises l’est tout autant.
Patrick Lawrence, correspondant à l’étranger depuis de nombreuses années, principalement pour l’International Herald Tribune, est chroniqueur, essayiste, auteur et conférencier. Son plus récent livre s’intitule « Time No Longer : Americans After the American Century » (Yale). Suivez le sur Twitter @thefloutist. Son site web est Patrick Lawrence. Soutenez son travail via son site Patreon.

Espanha acordo para 1200 euros de salário mínimo

 A meta de Costa  / Centeno de 750 euros para 2023 é inaceitável
Em 2023 , com tal valor ,ainda não atingiremos o salário mínimo de hoje em Espanha  Em 2023 estaremos a 62,5% do salário mínimo que a Espanha vai ter em 2020 ! No entanto , nesta época não faltaram os votos pios pelos pobrezinhos , nem as selfies nas sopas dos pobres e dos sem abrigo 
Entre os 22 países europeus que atualizaram o salário mínimo em 2019 por via legislativa, Portugal surge na 12.ª posição, segundo um estudo realizado pelo Gabinete de Estratégia e Planeamento do Ministério do Trabalho, apresentado  por ocasião dos 45 anos do salário mínimo.
O salário mínimo em Portugal  muito pela pressão  da CGTP e dos partidos à esquerda do PS ,aumentou nos últimos quatro anos dos 505 euros, em 2016, para 600 euros em 2019, um aumento nominal de quase 19% e real (descontando a inflação) de 14%. Mesmo assim é um aumento que pouca recuperação trouxe em relação aos outros países de UE , mas que teve sempre o acordo da UGT a central teleguiada pelos grandes grupos económicos e os queixumes dos reaccionários da CIP que só vêem o imediato .
Ora o baixo salário mínimo é um dos factores que não estimula a produtividade , os ganhos em gestão e um factor que estimula a emigração designadamente de quadros qualificados e é ainda um factor de pobreza e de acentuação das desigualdades
.Segundo o estudo, Portugal encontra-se "entre os países com o salário mínimo mais baixo quer da UE quer da Área do Euro" e "os recentes aumentos do salário mínimo em Portugal não alteram a sua posição relativa" no 'ranking' europeu e até se agravou em relação a alguns como a Espanha

OS SALÁRIOS MÍNIMOS NA EUROPA

De acordo com a tabela que apresenta valores nominais e ajustados a valores mensais (a 12 meses) e tendo em conta as diversas regras nos Estados-membros, o Luxemburgo está no topo, com um salário mínimo de 2.071,10 euros por mês, ou seja, quase o triplo do português.
Em segundo lugar surge o Reino Unido com um salário mínimo de 1.746,7 euros. Com valores acima dos 1.500 euros estão ainda a Irlanda, a Holanda, a Bélgica, a Alemanha e França. Portugal, cujo valor ajustado a 12 meses é de 700 euros, encontra-se ainda abaixo de Espanha (1.050 euros), Eslovénia (886,6 euros), Malta (762 euros) e Grécia (758,3 euros).

29 de dezembro de 2019

Los mejores libros de economía crítica de 2019



26/12/2019
Creo que el mejor libro del año es Classical Political Economics and Modern Capitalism (Economía Política Clásica y Capitalismo Moderno), de los economistas marxistas griegos, Lefteris Tsoulfidis y Persefoni Tsaliki. Y es un libro que aún no he reseñado en mi blog. La razón es que es tan bueno que estoy preparando una revisión más amplia e integral para la edición de la revista Marx 21 de la próxima primavera. Habrá algunas críticas, pero es una lectura esencial de teoría económica marxista.
Baste decir por ahora, como el título indica, que los autores cubren todos los aspectos de la teoría económica marxista aplicada al capitalismo moderno de una manera sucinta y rigurosa. Al hacerlo, los autores refutan las teorías neoclásicas y keynesianas en su pretensión de ser mejores explicaciones del capitalismo; y, sobre todo, ofrecen evidencia empírica para apoyar las leyes clave del movimiento del capitalismo de Marx: la ley del valor y la ley de la rentabilidad. Se presentan teoría y pruebas para explicar y justificar la teoría de las crisis teóricas bajo el capitalismo de Marx. El libro es caro, por lo que realmente debería considerarse un libro de texto para estudiantes de economía que buscan una exposición de la teoría económica marxista. Pero cada capítulo se puede comprar o leer por separado. Y es estupendo, incluso mejor que el monumental Capitalism de Anwar Shaikh (en 2016).

"Golpe de Estado" o termo censurado pelos vassalos do Império


1)El gobierno golpista de Bolivia mantiene una inusual presión sobre la embajada de México en ese país, con un exagerado despliegue de policías y militares, tratando que los nueve solicitantes de asilo ya instalados en esa sede se entreguen para ser juzgados por tribunales locales, ante el temor de que se pueda producir una salida furtiva de estos hacia algún país vecino.
Las relaciones diplomáticas entre México y Bolivia han llegado a un nuevo punto de tensión luego que el gobierno de Andrés Manuel López Obrador denunció que su embajada en La Paz ha estado bajo el acecho de decenas de agentes de seguridad bolivianos y que su personal ha sido hostigado e intimidado por la Policía de ese país

3)El ministro de Gobierno de Bolivia, Arturo Murillo, ha anunciado que pedirá a la presidenta interina de Bolivia, Jeanine Áñez, la expulsión de todos los miembros de la misión diplomática española tras el incidente del viernes, cuando considera que diplomáticos españoles intentaron evacuar a exdirigentes afines a Evo Morales de la Embajada mexicana en La Paz.
"Yo personalmente voy a pedir a la presidenta (Áñez) y a la canciller (Karen Longaric) que pida que estas personas se vayan del país. No es correcto que vengan a hacer lo que quieran", ha afirmado Murillo desde Santa Cruz, según informa la cadena de televisión Unitel. Murillo reprocha en particular la presencia de individuos encapuchados "como si pudieran hacer lo que les da la gana".

4)Delegação Argentina : Na Bolivia houve um golpe de Estado
Con la presencia del Premio Nobel de la Paz Adolfo Pérez Esquivel, se presentó el pasado 20 de diciembre, en el Congreso de la Nación, una Síntesis del Informe realizado por la Delegación Argentina en Solidaridad con el Pueblo Boliviano, que viajó a ese país los días 28, 29 y 30 de noviembre.

A Colombia dos assassinatos de Estado apoiada por Trump



A criminalidad afecta en gran medida a los líderes sociales en Colombia. La cifra de dirigentes asesinados durante 2019 asciende a 151.

1)Este 27 de diciembre, en horas de la mañana, la líder social Milena Quiroz fue víctima de un atentado cuando desconocidos dispararon en varias ocasiones en contra del esquema de protección en el que se transportaba. Quiroz, junto con su escolta lograron salir ilesos del hecho.
La defensora de derechos humanos se trasladaba desde El Arenal, sur de Bolívar, hacia Aguachica, César, cuando se presentaron los acontecimientos, en donde, de acuerdo con las primeras versiones, las personas que atacaron el esquema de seguridad se encontraban en la vía, esperando el vehículo para disparar. 
2)Los atacantes arribaron também la vivienda de Fabio Montero y dispararon sus armas de fuego, con las que impactaron a su madre y a su abuelo, quienes fallecieron producto de los impactos.
3)El dirigente social, Reinaldo Carrillo Vera, fue asesinado la madrugada de este miércoles en su residencia, en el municipio de Pitalito, departamento de Huila (al sur de Colombia), por individuos aún no identificados que lo hirieron varias veces con un arma de fuego.
Un comunicado difundido por el Departamento de Policía Huila detalló que los responsables de la muerte de Carrillo, de 38 años, llegaron hasta la casa de la víctima, aparentemente movilizados en una motocicleta, y actualmente son buscados por la autoridades.
4)La familia del líder social colombiano Fabio Montero Enríquez fue atacada este viernes por un grupo de hombres armados en el municipio de Leiva, en el departamento de Nariño (suroeste de Colombia).
Los atacantes arribaron a la vivienda de Montero cerca de las 19H00 hora local, tras lo que dispararon sus armas de fuego e impactaron a su madre Ermencia Enríquez Adrada y a su abuelo Sofronio Adrada, quienes fallecieron producto de los impactos.
Para el momento de los sucesos, Montero se hallaba a un kilómetro de distancia arribando a su hogar. 
Fabio Montero Enríquez es un líder social y defensor de Derechos Humanos integrante de la Comisión de Derechos Humanos de la Coordinación Social y Política Marcha Patriótica e integrante de la Asociación de Trabajadores Campesinos de Nariño (Astracan).

A moeda



Qu’est ce qui nous attend avec la monnaie ?


On n’en a pas fini avec la Libra de Facebook, dont le lancement est toujours prévu en 2020, malgré ses avanies de départ. L’annonce du projet n’a entraîné que… l’annonce du lancement d’une réflexion au sein de la BCE sur l’émission d’une monnaie numérique européenne. Témoignage, tout de même, de la crainte bien fondée d’être dépassé par les évènements, la création monétaire cessant d’être une prérogative réservée aux États.
Après le Bitcoin et ses homologues, les monnaies d’entreprise sont en vue avec la Libra comme précurseur. Les technologies sont disponibles et Facebook n’est pas la seule entreprise à disposer d’un portefeuille de clientèle en ligne étoffé, cette condition du succès. Ce n’est certes pas pour demain matin, mais la monnaie semble condamnée à perdre son statut – objet de tous les fantasmes – pour acquérir celui de simple commodité, et les États à voir un attribut de leur souveraineté leur échapper. Fortes de leur emprise, les entreprises émettant une monnaie numérique ne s’arrêteront pas là et court-circuiteront alors le système bancaire ainsi que tous les intermédiaires financiers.
On savait déjà le niveau insoupçonné de concentration de la propriété des grandes entreprises entre les mains d’un nombre réduit d’entités financières. Aujourd’hui, on assiste au sein de ces dernières à la montée en puissance impressionnante des grands fonds d’investissement, comme BlackRock en est l’exemple achevé. Les obstacles grandissant à la poursuite de la mondialisation et la croissance en baisse attirent toute l’attention au détriment de ces phénomènes qui dessinent le monde de demain. La monnaie numérique des entreprises en sera une des composantes, symbolisant un déplacement de l’exercice du pouvoir. Ne dit-on pas déjà que les représentants des États regardent de plus en plus souvent passer les trains ?
Comme la Libra, ces monnaies auront lors de leur démarrage un fil à la patte et seront probablement indexées sur un panier de devises, gage de leur stabilité. Mais n’est-il pas prévisible que, l’endettement des États aidant, ceux-ci bénéficieront de moins en moins de la confiance, cette vertu cardinale indispensable à leurs monnaies ? Les grandes entreprises numériques pourront alors progressivement prendre le relais avec les leurs, fortes d’une confiance accordée en raison de leur puissance économique.
Seul un sursaut déterminé des banques centrales pourra faire obstacle à la réalisation de ce scénario. Mark Carney, qui va quitter la direction de la Banque d’Angleterre, a bien lancé l’alerte, mais il n’a pas été entendu par une Fed qui se repose sur les lauriers du dollar américain, qui ne sont pas éternels. Et la BCE entre dans une période de réflexion qui s’annonce tourmentée. Selon toute vraisemblance, la Chine lancera en premier sa monnaie numérique, soulignant le retard pris par les autres. Les cartes vont être redistribuées et le dynamisme des grands acteurs d’Internet leur sera profitable. F. L. 

28 de dezembro de 2019

Os Lucros e dividendos não contam

O governo quer continuar a receber os impostos  das barragens, mas não se preocupa com os lucros e dividendos que vão para fora. Com as privatizações de empresas básicas e estratégicas e posterior venda ao estrangeiro a soma de lucros e dividendos que saem do país todos os anos é de muitos milhões 
"O Governo quer que a empresa a criar pela EDP para agregar as seis barragens que a francesa Engie irá comprar tenha a sua sede em Portugal, onde pagará os impostos, avança o Público este sábado, 28 de dezembro.

"O Estado, que tem de pronunciar-se sobre o negócio enquanto concedente, não está disposto a abrir mão da receita fiscal proveniente dos rendimentos das centrais hidro-eléctricas", refere o jornal.

Fonte do Governo adiantou ao Público "que uma das condições para que o negócio tenha luz verde é que a nova empresa que vier a explorar estas seis barragens do Douro terá de ter a sua sede social em Portugal, para que os impostos sejam pagos em território nacional" Grande afirmação de defesa dos interesses nacionais , para opinião pública ver!!!
Isto é o mínimo dos mínimos

25 de dezembro de 2019

A UE ao serviço dos banqueiros e grandes accionistas

Vigaristas encartados
A promessa em 2013 feita pela UE aos contribuintes europeus depois dos protestos e indignação da opinião publica por andar a salvar banqueiros com os seus salários , pensões e degradação dos serviços públicos após a crise financeira de 2007/2009 era simples: não seriam mais os primeiros convocados a resgatar bancos em dificuldades; em vez disso, os investidores deveriam pagar a conta quando uma instituição financeira quebrasse.

"Os contribuintes não estão mais na linha da frente para pagar pelos erros dos bancos", escreveu no Twitter o responsável pela principal autoridade de regulamentação financeira da União Europeia, Michel Barnier, em dezembro de 2013, após a conclusão das negociações políticas sobre uma nova legislação.

Seis anos depois, podemos ver  todas as maneiras utilizadas  pela UE e pelos governos para contornar este princípio. Só este mês, a Comissão Europeia aprovou o pacote de 3,6 mil milhões de euros da Alemanha para o Norddeutsche Landesbank-Girozentrale, enquanto a Itália arquiteta o salvamento de um banco regional no sul do país.

"Não poderíamos estar mais preocupados; este pode ter sido o último prego no caixão da nossa estrutura de resolução", escreveu o espanhol Luis Garicano, membro do Parlamento Europeu, por e-mail. Um lamento  pio para ficar em acta

Após a crise, a UE definiu um conjunto de regras para transferir o ónus para os proprietários e credores de bancos em dificuldades, forçando-os a arcar com perdas antes de um banco poder utilizar recursos públicos. Uma agência foi criada para lidar com bancos em apuros na Zona Euro e as instituições são obrigadas a emitir certos tipos de dívida convertíveis em participações acionistas ou que sofram baixa contabilítica se houver problemas.
A pratica o que revelou desde que entrou em vigor em 2016 foi que o Conselho Unico de Resolução se tornou  um orgão de geometria variável apenas para iludir a opinião publica e salvar banqueiros privados
Estes foram os principais casos em que os contribuintes arcaram com resgates de instituições financeiras na Europa desde 2016:

Banca Popolare di Bari
No exemplo mais recente, este banco regional no sul de Itália acumulou empréstimos malparados superiores a "todos os níveis aceitáveis ", segundo o CEO Vincenzo De Bustis. O governo concordou em criar um banco de desenvolvimento, fornecer 900 milhões de euros e financiar o investimento de reestruturação do Banca Popolare di Bari SCpA, juntamente com fundo interbancário FITD.

As desculpas e os argumentos para contornarem o Fundo de Resolução : "Com ativos totais inferiores a 14 mil milhões de euros, o banco é pequeno demais para ser supervisionado pelo Banco Europeu Banco Central ou o SRB de Bruxelas. Como nos casos anteriores de bancos italianos problemáticos, impor perdas aos investidores do banco é politicamente difícil, porque muitas das suas obrigações foram vendidas a clientes de retalho, também conhecidos como eleitores."

NordLB 
O credor do norte da Alemanha, NordLB, recebeu a luz verde da UE para um resgate envolvendo 2,8 mil milhões de euros em injeções de capital bem como cerca de 5 mil milhões de euros em garantias este mês após os seus fundos terem sido corroídos por empréstimos tóxicos. O fardo é dividido entre duas províncias alemãs, bem como por bancos de poupanças públicos. O resgate foi precedido por negociações com a Cerberus Capital Management e a Centerbridge Partners sobre uma participação no banco, mas os proprietários - os estados da Baixa Saxónia e Alta Saxónia, bem como alguns bancos de poupança pública - decidiram apoiar o banco. AS desculpas : "A Comissão Europeia decidiu que nenhum auxílio estatal ilegal estava envolvido porque os investidores são remunerados "em termos de mercado", o que significa que um investidor privado aceitaria, pelo menos em teoria, as mesmas condições. Se havia algum investidor privado que aceitasse tais termos, certamente não apareceu."

Banca Carige
Retido entre conflitos de gestão e dívidas incobráveis, o Banca Carige SpA passou de crise em crise e ficou submetido à administração do BCE no início deste ano num movimento sem precedentes. O governo forneceu garantias de liquidez em 3 mil milhões de euros em janeiro para garantir que o banco podia continuar a pagar os seus passivos.As desculpas :" O departamento de ajuda estatal da Comissão argumentou que o apoio estava de acordo com as suas regras porque o Carige está a pagar uma taxa ao Estado e porque a medida é "direcionada, proporcional e limitada no tempo." Gande lata

Veneto Banca e Banca Popolare di Vicenza
Depois de Itália ter tentado durante meses encontrar uma solução para os bancos em dificuldades numa das regiões mais ricas do país, o BCE desligou a torneira numa sexta-feira à noite, em junho de 2017, entregando-os ao SRB para venda. Crucialmente, a agência decidiu que não eram importantes o suficiente para justificar o tratamento especial conhecido como resolução e passou a pasta para as autoridades italianas. Por sua vez, comprometeram até 17 mil milhões de euros na ajuda de liquidação para evitar uma "perturbação grave" na economia local e apoiar a aquisição da Intesa Sanpaolo SpA. Enquanto acionistas e credores juniores sofreram perdas em conformidade com regras de auxílio estatal, mas a Itália decidiu mais tarde reembolsar a vasta maioria de lesados, alegando que os títulos em causa foram vendidos incorretamente pelos dois bancos. O departamento de auxílio estatal da Comissão apoiou todas estas medidas.

Banca Monte dei Paschi di Siena
Itália usou uma exceção nas regras de falência bancária da UE - conhecida como Diretiva de recuperação e resolução bancária - para injetar 5,4 mil milhões de euros no banco mais antigo do mundo, que estava a lutar contra uma montanha de empréstimos malparados. Uma seção da lei permite que os governos forneçam uma recapitalização por precaução a bancos solventes, a fim de remediar uma "grave perturbação" na economia. Novamente, acionistas e credores juniores registaram perdas, embora os clientes do retalho possam conseguir alguma compensação do banco. Como no caso dos dois bancos venezianos, os detentores de títulos senior foram poupados. O Estado possui agora 68% do banco e está a explorar maneiras de alienar a participação.

Caixa Geral de Depósitos como banco publico o dinheiro metido pelo Estado continua no Estado e com os  lucros o contribuinte recupera o que foi investido ao contrário dos privados em que quem lucra são os banqueiros e os grandes accionistas
A recapitalização de 2017 deste banco totalmente estatal português  não foi considerado auxílio estatal ilegal ( depois do que A UE considerou para os privados , não faltava mais nada que não aprovasse)porque, assim como no caso do NordLB, o capital foi fornecido pelo governo "nos termos de mercado". Portugal investiu 3,9 mil milhões de euros ao planear uma profunda reestruturação do banco para salvaguardar a sua rentabilidade a longo prazo. Em novembro, a CGD reportou um lucro líquido nos primeiros nove meses de 641 milhões de euros, e o governo espera receber 237 milhões de euros em dividendos no próximo ano.

Cyprus Cooperative Bank
Chipre obteve aprovação da UE em 2018 para desembolsar 3,5 mil milhões de euros, mais de 10% do seu produto interno bruto, para a liquidação do segundo maior banco do país. As desculpas : "A principal razão para a Comissão ter apoiado a solução foi tratar-se de um processo de longo prazo, que começou antes da entrada em vigor do regime de resolução da UE, que deve ser tratado com base nas leis nacionais. Metade dos ativos do banco não eram rentáveis e  a instituição era totalmente financiada através de depósitos, o que significa que não havia detentores de títulos que pudessem contribuir para as perdas assumidas com o colapso, de acordo com a Comissão"

Vassalagem ao império

As mais altas figuras do Estado foram ao Afeganistão prestar homenagem às tropas portuguesas e vassalagem ao Império no exacto momento em que os Afghanistan  Papers revelavam o colossal fracasso da intervenção
The Big Reveal for the Washington Post was the release of the Afghanistan Papers. A series of interviews and documents “compiled in secret” and then the subject of a “legal challenge” from the US government. The WaPo baldly calls it“A secret history of the war”. But there’s nothing here that’s really secret, and very little actual history. What do they tell us? Absolutely nothing, except what we’re supposed to believe.” ( Kit Knightly, December 20, 2019)

War is Good for Business and Organized Crime: Afghanistan’s Multibillion Dollar Opium Trade. Rising Heroin Addiction in the US By Prof Michel Chossudovsky

24 de dezembro de 2019

Quantos gestores portugueses não deviam também estar a contas com a justiça ?

France Telecon foi assim ..e em Portugal quantos não deviam estar a contas com a justiça

Em julgamento histórico, executivos na França respoderam por suicídio de 35 funcionários e foram codenados.Em vários casos, as vítimas claramente culparam a empresa pelo seu desespero e opção pelo suicídio. Num e-mail de despedida ao pai, uma mulher de 32 anos disse que não queria trabalhar com o novo chefe. Ela atirou se do quinto andar do prédio , na frente dos colegas de trabalho. 

Crónica antecipada de um golpe - México

A fabricação de um golpe com a intervenção de alguns idiotas úteis de esquerda
http://www.informationclearinghouse.info/52736.htm
Em Inglês
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Em Castelhano
El pasado mes de julio pronuncié un discurso en el Foro de Izquierda en Brooklyn. Cuando terminó, un joven activista se puso de pie y anunció, en perfecto inglés, que era un anarquista de México que había viajado al Foro de Izquierda para hablar en contra de los abusos contra los derechos humanos perpetrados por el presidente mexicano "neoliberal", A M Lopes Obrador(AMLO) contra los manifestantes. Dado que el panel en el que participé no tenía nada que ver con México, imaginé a todo un batallón de autoproclamados izquetas de vanguardia mexicana cambiando el tema en panel tras panel en el foro izquierdo para dañar la imagen de AMLO exagerando la conexión entre los La presidenta mexicana y las fuerzas de policía locales bajo el control de los gobiernos de la oposición, como le había sucedido a la presidenta brasileña Dilma Rousseff durante la consenada a la Copa del Mundo. "Así que comienza", pensé. Como decimos en Brasil, 'Já vi este filme'.
Basándome en el hecho de que el Estado Integral -el gobierno, los medios de comunicación, las corporaciones, las instituciones académicas, los partidos políticos, los grupos de reflexión y los ONGS que apoyan el proyecto imperialista- le encanta reciclar tácticas y estrategias de cambio de régimen, me gustaría predecir cómo los actores dentro de la izquierda de estados Unidos podrían, ya sea de manera tajante o inadvertida, fortalecer el apoyo al intento de golpe de Estado que obviamente ya está dando inicio contra México, un país que tiene yacimientos de petróleo y otros recursos naturales codiciados por una corporación estadounidense; país cuyos hijos ya están recluidos en jaulas americanas. Este artículo está destinado a ayudar a identificar señales de advertencia y, con suerte, reducir el número de progresistas estadounidenses que caen en las mismas técnicas de psiquiops que se utilizaron contra Honduras, Paraguay, Brasil, Nicaragua, Venezuela y Bolivia durante los recientes golpes de Estado y golpes de Estado apoyados por Estados Unidos en esos países. Aunque este artículo es sátira, he insertado enlaces a tipos similares de artículos de medios de comunicación progresistas sobre países latinoamericanos que han sufrido de recientes intentos de cambio de régimen respaldados por Estados Unidos.

Etapa 1
Una revista izquieralista estadounidense comienza una campaña de artículos de académicos trotskistas financiados por NED sobre cómo AMLO está "traicionando a la izquierda". En el frente ambiental, AMLO es castigado por no haber desembolsado inmediatamente la economía mexicana de los combustibles fósiles.
Mientras tanto, empresas de medios liberales como New York Times, Intercept and the Guardian, algunas de las cuales ya han transferido a sus mejores escritores latinoamericanos a la Ciudad de México, ejecutan decenas de artículos destacando mega proyectos de construcción inacabados,, crimen,, crisis ambientales y corrupción,como si no fueran problemas estructurales sistemáticos causados por siglos de parasitaria explotación capitalista y golpes de estado perpetrados por Estados Unidos y sus aliados del norte. Ellos pretenderán que es un fenómeno completamente nuevo en México, que según los idiotas útiles, existen en un vacío geopolítico.

Os amigos de Guaidó

Corrupção

Una filial de Petróleos de Venezuela (PDVSA) con sede en Colombia, que está dirigida por el entorno del diputado opositor Juan Guaidó, ha sido utilizada para el enriquecimiento ilícito de los políticos que la manejan bajo un esquema de extorsión y chantaje, según informó este pasado viernes el diario La Libertad. 
Se trata de Monómeros Colombo Venezolanos S.A., que, según el medio, está liderada por el opositor Leopoldo López, a quien el gobierno de Nicolás Maduro acusa de estar, junto a Guaidó, detrás del fallido golpe de Estado. Se informa que la estafa ha sido manejada desde la Asamblea Nacional en desacato con el vínculo de la Comisión de Energía y Petróleo. 
De acuerdo con el medio, políticos opositores se reunieron con empresarios en Colombia, donde “a través de coerción y amenazas” exigieron “fuertes sumas de dinero a los directivos de la compañía”, así como a los que querían formar parte de su junta directiva o aquellos que deseaban obtener contratos y dividendos de la empresa.
El propósito de la trama de corrupción es la financiación de organizaciones políticas de la oposición al Gobierno venezolano, como Acción Democrática. El citado medio señala que existe “material probatorio como audios y grabaciones” de unas reuniones en las que “altas sumas” de dinero fueron entregadas a representantes de dicho partido.
“Se pudo constatar de fuentes de alta confidencialidad, que quienes deseen ser parte de la junta directiva deben pagar por adelantado a los congresistas venezolanos, supuestamente como ‘apoyo voluntario’ a una campaña presidencial“, señala La Libertad. En concreto, se trata “de una supuesta campaña presidencial en Venezuela de Henry Ramos Allup del partido Acción Democrática, Julio Borges de Primero Justicia, Manuel Rosales de Un Nuevo Tiempo y Juan Guaidó de Voluntad Popular”, según el medio.