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29 de março de 2013

CHIPRE , os grandes depositantes e o euro

A TRADUZIR:

(...) D’importants fonds russes auraient pris la poudre d’escampette de Chypre pendant la semaine chaotique qui a précédé l’accord obtenu à l’arraché. Ioannis Kasoulides, le ministre chypriote des Affaires étrangères, l’a confirmé et les filiales londoniennes des banques chypriotes sont pointées du doigt pour avoir permis l’évasion des fonds… d’un paradis fiscal vers un autre. La Lituanie, qui se prépare à entrer dans la zone euro début 2014, aurait été l’un des destinataires de ces transferts. Une commission parlementaire chypriote a demandé des noms à la banque centrale du pays.(...) F. Leclerc Blog P. J.
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Chipre um paraíso fiscal ?
Stavros Evagorou*.
 Plusieurs mois avant la décision de l’Eurogroupe de taxer tous les dépôts, les media allemands ont propagé des accusations fausses contre Chypre. Notre pays serait un paradis fiscal, un centre de blanchiment d’argent… Ces journaux écrivaient sur les oligarques russes. Pourtant nous avons le même taux d’imposition sur les sociétés que la Bulgarie, un taux proche de l’Irlande et supérieur à celui de Malte. Pourquoi donc s’acharner sur Chypre? Aux Pays-Bas, il y a trois fois plus d’argent russe déposé qu’à Chypre. Et deux fois plus au Luxembourg. Il ne me semble pas que là-bas, les Russes soient prolétaires. Notre système bancaire a été inspecté par Moneyval, une institution du Conseil de l’Europe chargée de la lutte contre le blanchiment d’argent. Nous avons une note meilleure que l’Allemagne. Nous sommes les septièmes dans la zone euro. S’ils insistent pour détruire notre système financier, ce n’est pas parce qu’ils ont quelque chose contre les Chypriotes. Ils ciblent les Russes. Ces derniers jours, des délégations de banquiers allemands ou de la zone euro se rendent à Chypre pour convaincre les investisseurs russes de transférer leur argent dans leur pays.

* Deputado do Akel
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El centrista Diko acusó ayer a Gobierno y bancos de conocer de antemano las condiciones del rescate de la troika y actuar en consecuencia. El comunista AKEL ha solicitado un referéndum sobre la permanencia del país en el euro. Todos ellos rechazaron en el Parlamento el primer rescate acordado, que imponía una tasa sobre todos los depósitos, tanto los superiores como los inferiores a 100.000 euros.
El discurso de Anastasiadis coincide con la valoración del Instituto Internacional de Finanzas (IIF), que reúne a los principales bancos del mundo, según el cual la posibilidad real de una salida de la zona euro es evidente. “Chipre tiene todas las cargas derivadas de estar en el euro, pero ninguna de sus ventajas”, informaron a última hora del jueves fuentes del IFF en Washington. Lo mismo, pero con otras palabras, que opinan muchos chipriotas, líderes políticos incluidos. El País.

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