A prova de que a apresentação da renegociação da dívida publica portuguesa tinha muita força e dava a um governo sólidos trunfos para exigir da UE uma resposta muito mais equitativa está no caso daGrecia e no pânico que lhes causa tal hipotse.
Era agora a altura.
Vejamos o que eles dizem nos corredores....
Tirado dos L Echos.
A reestruturação.
" Elle ne serait pas davantage bénéfique pour la zone euro. Elle serait même préjudiciable pour l'Europe » . Un avis largement partagé. Car en coulisses, loin des caméras et des micros, les conseillers économiques européens présents à Washington ainsi que les leaders politiques ne cachent pas leur inquiétude. « Un restructuration de la dette grecque constituerait un saut dans l'inconnu. Nous ne voulons pas créer un précédent. Nous avons retenu la leçon du défaut de la Banque Lehman Brothers et des conséquences désastreuses qui ont suivi » , expliquait un conseiller. « Si le plan de redressement de l'économie grecque mis en place par les européens et le FMI ne marche pas, l'ensemble de la zone euro va le payer très cher » , glissait un haut responsable du Fonds, indiquant implicitement qu'un effet de contagion s'en suivrait sur les pays fragiles tels que l'Irlande, le Portugal, voire l'Espagne. Engagés dans un plan d'assainissement de leurs finances publiques, les gouvernements européens ne peuvent prendre le risque d'assister à une envolée des taux d'intérêt à long terme qui compliquerait sérieusement leur tâche."
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