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18 de abril de 2011

A reestruturação da dívida

A prova de que a apresentação da reestruturação da dívida agora obrigaria a UE a tomar medidas de resposta colectiva quer através do BCE quer através das Euro-Obrigações para evitar a especulação contra o euro e a sua descredibilização,questão que Merkel nem quer ouvir antes das eleições, a prova,repetimos,está nos efeitos de algumas daclarações sobre a dívida Grega. O que seria ou o que será se estes países ameaçarem colocar a questão formalmente? Já temos uns afloramentos. "L'euro baisse face au dollar, regain de craintes sur les dettes en zone euro L'euro baissait face au dollar lundi, s'installant sous le seuil de 1,44 dollar, plombé par un regain d'inquiétudes sur les dettes souveraines des pays les plus fragiles de la zone euro, alors que les discussions sur un plan de sauvetage débutaient au Portugal. Vers 09H00 GMT (11H00 à Paris), l'euro valait 1,4332 dollar contre 1,4431 dollar vendredi à 21H00 GMT. La monnaie européenne perdait aussi du terrain face à la devise nippone à 118,72 yens contre 119,93 yens vendredi soir. Le dollar reculait également face au yen à 82,84 yens contre 83,07 yens vendredi. Les représentants de l'Union européenne (UE) et du Fonds monétaire international (FMI) entamaient lundi à Lisbonne des négociations politiques avec les autorités portugaises pour définir le montant, et surtout les conditions, d'un plan de sauvetage financier qui doit être conclu d'ici à la mi-mai. Après la Grèce et l'Irlande l'an dernier, le Portugal, en proie à de sévères difficultés budgétaires, a faire appel en début de mois à une aide extérieure pour tenter de rétablir ses finances publiques. A cela s'ajoutent des spéculations persistantes sur une prochaine restructuration de la dette grecque, même si les dirigeants du pays et les responsables européens écartent cette éventualité. "Le vrai danger d'une restructuration est qu'elle ferait encore des noeuds dans les comptes des banques qui la détiennent, notamment allemandes et françaises, très exposées à la dette grecque", prévenait Jane Foley, analyste chez Rabobank." l. Echos

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