Hoje (26), o ministério russo informou que o Centro Russo para a Reconciliação na Síria dispõe de informações que a Idlib teriam chegado especialistas estrangeiros para encenar um "ataque químico".
Aliás, em seu comunicado, o ministério revelou o local preciso onde está sendo planeada a encenação — trata se de um povoado chamado Kafer Zaita.
De acordo com o representante oficial da entidade russa, major-general Igor Konashenkov, após esta encenação estar pronta, os "socorristas disfarçados Capacetes Brancos" planeiam filmar as cenas para a imprensa ocidental e local.
Eva BARTLETT
Comme il fallait s’y attendre, l’administration étasunienne menace une nouvelle fois de bombarder la Syrie en cas d’’attaque à l’arme chimique".
Cela n’a rien d’étonnant, car le même scénario d’attaque chimique est régulièrement repris, avec les mêmes larmes de crocodile, les mêmes préoccupations mensongères et la même indignation hypocrite, par les porte-paroles américains, depuis que l’ancien président américain Obama a tracé sa ligne rouge en Syrie, en 2012.
John Bolton, le conseiller à la sécurité nationale du président Trump, vient à son tour, de ressortir le script de la fausse attaque chimique, en déclarant, le 22 août : ’....si le régime syrien utilise des armes chimiques, nous réagirons avec toute la fermeté requise et ils devraient vraiment y réfléchir à deux fois.’
Mal couverts par les lambeaux du voile de supériorité morale sous lequel se dissimule la propagande de guerre américaine, les propos de Bolton sonnaient clairement comme un ordre officiel à Al-Qaïda et aux co-extrémistes de mettre en scène une nouvelle fausse attaque chimique.
La déclaration de Bolton a été précédée, le 21 août, d’une déclaration commune de la France, du royaume Uni (UK) et des Etats-Unis(US), soit FUKUS, qui menaçait également la Syrie de bombardements illégaux si une attaque chimique s’y produisait (sur la base de preuves que les Etats-Unis n’ont pas et n’ont jamais besoin d’avoir).
Rappelons que la dernière fois qu’ils ont mis en application leur menace, en avril 2018, les Etats-Unis et leurs alliés interventionnistes n’avaient même pas attendu que le mensonge sur les attaques chimiques à Douma ait fait long feu, sans parler de la présentation des soi-disant preuves, avant de larguer illégalement 103 missiles sur la Syrie. Les bombardements ont eu lieu avant que l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) ait pu visiter les sites de Douma concernés.
Il semble que les bombardements de la Syrie d’avril 2018 et d’avril 2017, suite à des allégations non fondées sur Khan Sheikhoun, dans le gouvernorat d’Idlib, n’ont pas diminué l’appétit de destruction de FUKUS.
Les déclarations de Bolton sont reprises en boucle par les habituels médias aux ordres et faux groupes de défense des droits humains, les habituels ’militants médiatiques’ et individus proches du Conseil de l’Atlantique de l’OTAN, le think tank de propagande de guerre.
Ken Roth, qui règne en maître sur Human Rights Watch (HRW) depuis vingt ans, - et qui n’avait même pas été capable de faire la différence, sur une vidéo, entre la ville de Shuja’iyya de la bande de Gaza, réduite en cendres par les Israéliens, et la Syrie, lorsqu’il a tweeté qu’il s’agissait d’Alep en 2015 – s’acharne à ramenerla Ghouta de 2013 sur le tapis, pour effrayer les bonnes âmes du monde entier. La narrative occidentale des événements de la Ghouta a été largementinvalidée par des journalistes et par les soi-disant ’rebelles’ eux-mêmes ...
Cela n’a rien d’étonnant, car le même scénario d’attaque chimique est régulièrement repris, avec les mêmes larmes de crocodile, les mêmes préoccupations mensongères et la même indignation hypocrite, par les porte-paroles américains, depuis que l’ancien président américain Obama a tracé sa ligne rouge en Syrie, en 2012.
John Bolton, le conseiller à la sécurité nationale du président Trump, vient à son tour, de ressortir le script de la fausse attaque chimique, en déclarant, le 22 août : ’....si le régime syrien utilise des armes chimiques, nous réagirons avec toute la fermeté requise et ils devraient vraiment y réfléchir à deux fois.’
Mal couverts par les lambeaux du voile de supériorité morale sous lequel se dissimule la propagande de guerre américaine, les propos de Bolton sonnaient clairement comme un ordre officiel à Al-Qaïda et aux co-extrémistes de mettre en scène une nouvelle fausse attaque chimique.
La déclaration de Bolton a été précédée, le 21 août, d’une déclaration commune de la France, du royaume Uni (UK) et des Etats-Unis(US), soit FUKUS, qui menaçait également la Syrie de bombardements illégaux si une attaque chimique s’y produisait (sur la base de preuves que les Etats-Unis n’ont pas et n’ont jamais besoin d’avoir).
Rappelons que la dernière fois qu’ils ont mis en application leur menace, en avril 2018, les Etats-Unis et leurs alliés interventionnistes n’avaient même pas attendu que le mensonge sur les attaques chimiques à Douma ait fait long feu, sans parler de la présentation des soi-disant preuves, avant de larguer illégalement 103 missiles sur la Syrie. Les bombardements ont eu lieu avant que l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) ait pu visiter les sites de Douma concernés.
Il semble que les bombardements de la Syrie d’avril 2018 et d’avril 2017, suite à des allégations non fondées sur Khan Sheikhoun, dans le gouvernorat d’Idlib, n’ont pas diminué l’appétit de destruction de FUKUS.
Les déclarations de Bolton sont reprises en boucle par les habituels médias aux ordres et faux groupes de défense des droits humains, les habituels ’militants médiatiques’ et individus proches du Conseil de l’Atlantique de l’OTAN, le think tank de propagande de guerre.
Ken Roth, qui règne en maître sur Human Rights Watch (HRW) depuis vingt ans, - et qui n’avait même pas été capable de faire la différence, sur une vidéo, entre la ville de Shuja’iyya de la bande de Gaza, réduite en cendres par les Israéliens, et la Syrie, lorsqu’il a tweeté qu’il s’agissait d’Alep en 2015 – s’acharne à ramenerla Ghouta de 2013 sur le tapis, pour effrayer les bonnes âmes du monde entier. La narrative occidentale des événements de la Ghouta a été largementinvalidée par des journalistes et par les soi-disant ’rebelles’ eux-mêmes ...
De grandes provocations avec une prétendue utilisation d'armes chimiques contre la population civile et avec la participation de spécialistes étrangers anglophones sont prévues d’ici deux jours dans la localité de Kafr-Zita, dans la province syrienne d’Idlib, a annoncé dimanche le ministère russe de la Défense.
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