Mas desta vez o gatilho que dispara pode não ser o credito hipotecário . O endividamento das empresas , o endividamento privado é colossal. Mas mais do que o volume são as duvidosas garantias. O Banco de Inglaterra viu se obrigado a lançar um alerta . Nos EUA até às eleições tudo será feito para manter a aparência que tudo corre pelo melhor dos mundos...
(...)Le marché de la dette à taux fixe a fortement évolué et n’est plus dominé par les compagnies d’assurance et les fonds de pension qui détenaient les titres jusqu’à maturité. Un volume de plus en plus grand de la dette des entreprises est détenu sous forme d’exchange-traded funds (ETF), ces instruments qui connaissent un fulgurant essor, à horizon moins lointain et détenus pour une large part par des investisseurs non professionnels qui n’ont pas les épaules très solides et peuvent vendre leurs titres dans la précipitation. Une proportion importante des autres détenteurs ont des procédures de vente automatique lorsque la notation par les agences des ETF qu’ils détiennent descend sous un certain seuil. L’ensemble représente un indéniable danger potentiel.
Nous savons désormais que les crises financières ont tendance à ne pas se produire là où elles sont attendues. L’accent mis sur le renforcement des banques n’est donc pas en soi rassurant, car on peut toujours se demander s’il sera suffisant. Les crises se produisent dans des coins innovants du marché, moins connus et surveillés. Et les ETF sont souvent donnés gagnant à ce jeu par ceux qui scrutent les marchés.
Dernière remarque : en jouant avec leurs outils monétaires, les banques centrales sont à l’origine de l’accroissement de la dette des entreprises. En jouant sur un effet de levier positif, tant que tout se passe bien, elles améliorent leurs résultats. Mais dans le cas contraire… François L. blog DEc..
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